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EN DIRECT - Sarkozy à Toulon: lutter contre la crise, et refondre l'Europe

Publié le 01/12/2011 18:30
Mis à jour le 01/12/2011 21:35

"Toulon 2", c'est ainsi que le discours de Nicolas Sarkozy a été baptisé par plusieurs observateurs, en référence à celui qu'il avait prononcé à Toulon le 25 septembre 2008, alors que la crise financière battait son plein. Trois ans après, le chef de l'Etat a de nouveau fustigé les méfaits d'un capitalisme débridé, des intérêts de court-terme et d'une mondialisation sans véritable gouvernance, exposant aux Français des "vérités" sur la réalité de la crise et le besoin d'une plus grande combativité pour en sortir.

II a évoqué le besoin d'une "révolution", la nécessité de changements en profondeur pour faire face aux maux de la crise, évoquant tout à la fois les méfaits des 35H, l'urgence d'une réforme des retraites et la nécessité de regagner la confiance des marchés sur la solvabilité de la France.

La politique intérieure et la politique extérieure sont les mêmes, a-t-il bataillé, liant le destin de la France à celui de l'Union européenne. Après une demi-heure d'un discours très dense, il s'est alors lancé dans l'explication d'une refonte nécessaire de l'Europe, réforme en profondeur qui se fera aux côtés de l'Allemagne, un pays qu'il faut apprendre à "connaître" et à "comprendre". FIN DU DIRECT

20H00 - Lucide - Christian Estrosi, le député-maire UMP de Nice, réagit sur Twitter: "Discours de Toulon: un Président lucide, pédagogue, convaincant, qui trace un nouveau destin pour la France et pour l'Europe".

19H53 - "Capitulation en rase campagne" - Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la République et candidat à la présidentielle, se déchaîne. Ce discours est "une véritable imposture". Il accuse Sarkozy de "faire passer un abandon colossal de souveraineté devant de grands drapeaux tricolores". Le chef de l'Etat "parle de croissance et il nous plonge dans la récession". "C'est une fin de quinquennat tragique". Seule chose à faire pour ce "petit" candidat: "préparer la fin de l'euro".

19H55 - Envolée insupportable - Pour Jean-Luc Mélenchon, candidat du Front de gauche à la présidentielle, il s'agit d'un discours d'auto-amnistie", qui "se termine par une envolée tout à fait insupportable". Le chef de l'Etat a dénoncé "un traité dont il a été l'auteur", et a fait des leçons d'économie "approximatives" devant une foule "excitée de réactionnaires" qui lui était acquise.

19h53 - Discours électoral bis - La secrétaire nationale d'Europe Ecologie-Les Verts (EELV), Cécile Duflot, ironise sur son compte Twitter sur un discours de campagne électorale plus qu'un discours de président: "Il a tapé sur les 35 heures, dit qu'il fallait travailler plus, chanté la marseillaise devant des militants UMP venus en car, bienvenue en 2006".

19H50 - "Il vient de lâcher devant Mme Merkel" - Martine Aubry: "On a eu un candidat qui a essayé d'auto justifier son échec et de trouver des responsables ailleurs", lance la responsable du PS. "Il vient de lâcher devant Mme Merkel".

19H47 - "Extrêmement important" - "Le président vient de prononcer un discours extrêmement important. devant les Français". Il a "parlé vrai et a parlé juste". La réaction vient du secrétaire général de l'UMP, Jean-François Copé, qui s'exprime au siège du parti.

19H50 - Le PS fustige l'homme du déclin - Le conseiller spécial de François Hollande, Jean-Marc Ayrault, réagit à chaud: "l'homme du déclin ne sera jamais l'homme du destin. C'est lui qui a abaissé la France financièrement, économiquement et socialement. C'est lui qui a privé la France de sa souveraineté économique et financière. C'est lui qui a dégradé la signature et le rang de la France", écrit-il dans un communiqué. "C'est lui qui a privé la France de la capacité de traiter d'égal à égal avec Mme Merkel et avec les autres puissances du monde. C'est lui qui a déclassé les Français".

19H41 - Poncifs - Marine Le Pen, au micro de iTélé, trouve que "ce discours est parfaitement indigent. J'ai entendu une succession de poncifs. Il a fallu attendre près de 50 minutes pour entendre les premières mesures concrètes, qui font froid dans le dos". Elle y voit le message d'une "Europe allemande qui va imposer plus d'austérité aux Français", et "l'annonce de la perte de souveraineté de la France".

19H37 - "Ne pas subir" - Dans le camp Sarkozy, réaction sur Twitter de Valérie Pécresse, ministre du Budget: "Agir pour ne pas subir. Soyons maîtres de notre destin. Construisons une autre Europe. Désendettons-nous".

19H35 - Quelles conséquences? - Commentaire à chaud de Michaël Darmon (iTélé): "Nicolas Sarkozy a dit beaucoup de choses importantes mais il n'a pas tout dit sur les conséquences de la convergence avec l'Allemagne".

Réactions en chaîne

19H31 - Parti - Le chef de l'Etat quitte le Zénith après avoir été chaleureusement applaudi et avoir serré plusieurs mains sur le chemin vers la sortie.

19H28 - NICOLAS SARKOZY ACHEVE SON DISCOURS APRES S'ETRE EXPRIME PENDANT 50 MINUTES. ON JOUE LA MARSEILLAISE.

19H25 - La France se bat "pour un nouveau traité" préparé avec l'Allemagne - Nicolas Sarkozy amène la fin de son discours sur "le combat de la France". En faveur d'un traité européen repensant et refondant l'organisation de l'Europe", pour une plus grande responsabilité assumée devant les peuples", pour que "l'Europe puisse encore faire entendre sa voix". "Nous nous développerons ensemble, pas les uns contre les autres."

19H24 - LA FRANCE DOIT ADOPTER LA REGLE D'OR, DANS L'IDEAL AVANT LA PRESIDENTIELLE" - "Chaque pays de la zone euro doit adopter une règle d'or qui inscrira dans son ordre juridique l'objectif d'équilibre budgétaire. La France doit l'adopter. L'idéal, si chacun faisait preuve de responsabilités, serait de le faire avant la présidentielle. Si tel n'était pas le cas, il faudrait le faire immédiatement après".

19H23 - Solidarité européenne - Le chef de l'Etat martèle sa conviction d'une "solidarité sans faille" au sein de l'Union européenne et fait un plaidoyer pour le fonds de solidarité européen, le FESF. Il assure que dans ce contexte, aucun Etat de la zone euro ne sera mis en défaut. Il a plaidé pour aller vers davantage de décisions à la "majorité qualifiée" dans la zone euro.

19H21 - A Sarkozy de payer! - La socialiste Marie-Noëlle Lienemann, sur Twitter: "Sarkozy dit qu'il faut payer nos dettes. Il doit payer les siennes, chômage, désindustrialisation, cadeaux fiscaux aux riches!"

19H18 - "LA DISPARITION DE L'EURO AURAIT DES CONSEQUENCES DRAMATIQUES POUR LES FRANCAIS" - "Je ne peux pas en tant que chef de l'Etat laisser se produire un tel désastre".

19H17 - "Cela ne peut plus durer" - Nicolas Sarkozy entre dans une énumération de "cela ne peut plus durer", citant entre autres "une Europe qui laisse entrer des produits de pays qui ne respectent aucune des règles qui sont appliquées en interne", "le dumping social et fiscal" et l'accord de Schengen sur la circulation des biens et des personnes en Europe, tel qu'il existe.

19H16 - "SCHENGEN DOIT ETRE REPENSE"

19H15 - "Vérité" - Un mot-clef dans ce discours, celui de "vérité". Notamment pour marteler qu'il faut dire la vérité aux Français sur la gravité de la crise.

19H14 - Paix et guerre - La France et l'Allemagne ont fait le "choix de la convergence". "Je ne reviendrai jamais sur ce choix". Car "derrière la convergence il y a la paix". Il évoque la Seconde guerre mondiale, qu'il raconte ne pas avoir connue. On sent la patte du conseiller Guaino.

19H11 - SARKOZY RECEVRA MERKEL LUNDI ET ILS FERONT DES "PROPOSITIONS SUR L'EUROPE".

19h10 - Comprendre l'Allemagne - Après 30 minutes de discours, Nicolas Sarkozy aborde pour la première fois la question des relations franco-allemandes, au coeur des débats concernant la gestion de la crise de la dette en Europe. "L'Allemagne et la France désunies, c'est l'Europe toute entière qui est désunie. La France et l'Allemagne ont fait le choix de la convergence, je ne reviendrai jamais sur ce choix".

19H08 - Destin mondial - "Nous ne reprendrons pas le chemin de la croissance seuls", avertit le président. "La France est plongée dans l'économie mondiale. Il n'y a pas de différence entre la politique intérieure et la politique extérieure", surtout face à "une seule et même crise mondiale". Le chef de l'Etat embraye sur l'isolement, qui "n'est pas une solution. La fermeture serait mortelle pour notre niveau de vie", et engendrerait un déclin économique, intellectuel et moral, prédit-il. "C'est cette lucidité, cette acceptation du réel qui nous permettra de peser dans le monde".

19H06 - "Immigration incontrôlée" - Un nouveau passage très applaudi: le chef de l'Etat vient d'aborder le thème de l'immigration. "Nous n'accepterons pas une immigration incontrôlée", lance-t-il avec force. L'immigration "est féconde si elle est maîtrisée".

19H03 - Absents - Sur Twitter, AbdelB, analyste financier et politique, souligne: "Europe, Merkel, €uro, dollar, traité, BCE etc...Oui ces mots sont absents". Autre commentaire, de Rosselin, ingénieur médias: "Ce discours n'a rien à voir avec l'Europe ou l'économie. C'est le discours d'inauguration de la campagne du candidat Sarkozy".

19H01 - Changer de modèle - Le chef de l'Etat explique qu'il faut "adapter le modèle social aux conditions qui sont propres à notre époque. La délinquance n'est pas la même qu'hier. Les inégalités ne sont pas les mêmes". Il s'en prend aussi à "une minorité qui voudrait profiter du système sans assumer sa part des devoirs", ce qui suscite un tonnerre d'applaudissements. "La réforme du financement de notre modèle social est devenu une urgence absolue", poursuit-il, "nous ne pouvons pas garder le modèle social de l'après-guerre".

19H00 - "LA REFORME DU FINANCEMENT DE NOTRE MODELE SOCIAL EST DEVENUE UNE URGENCE ABSOLUE" -

18H57 - Du Mélenchon? - Pierre Haski, cofondateur de Rue89 ironise sur Twitter. "En fait c'est Mélenchon qui a écrit le discours de Toulon : "le laisser-faire, la globalisation financière se sont installés".

18H56 - Reprendre le destin en main - "Les crises nous indiquent la voie à suivre pour reconstruire", poursuit-il. "La politique aujourd'hui doit réinventer et doit imaginer. Il faut parer à l'urgence en évitant de devenir une cible pour la spéculation. Il faut lever les doutes sur la capacité de la France à payer sa dette. En diminuant le déficit, nous diminuons l'emprise que les marchés ont sur nous et nous avons la maîtrise de notre destin".

18H54 - Retraites - Nicolas Sarkozy défend la réforme des retraites. "La France doit entrer de plein pied dans le nouveau cycle économique. La France doit s'y préparer". Le chef de l'Etat attaque la gauche: la retraite à 60 ans et les 35 heures "ont été des fautes graves dont nous payons aujourd'hui lourdement les conséquences". Cette première charge, sur des thèmes chers aux militants de l'UMP, déclenche une salve d'applaudissements.

18H52 - Démonstration - Poursuivant sur le même ton ferme et explicatif, il entre dans une explication sur "la nouvelle économie": "Il évoque ceux qui travaillent et sont de moins en moins nombreux", qui "subissent la charge de ceux qui vivent de plus en plus nombreux et de plus en plus longtemps. Il est impossible de continuer ainsi. Et c'est pour cette raison que la réforme des retraites ne pouvait plus être différée et qu'il a fallu en accélérer le calendrier. Contester cette réalité, c'est mentir gravement aux Français".

18H50 - Désendettement - "Le cycle qui s'annonce sera un cycle de désendettement" et il va s'accompagner d'un "ajustement auquel toutes les politiques des pays économiquement développés vont se trouver confrontés".

18H45 - Les ravages de la mondialisation - Le chef de l'Etat fustige ce qu'il appelle "l'idéologie du laisser-faire", qui "a fait oublier les grandes leçons de la Grande dépression. Il dénonce "les ravages de la mondialisation sans règle", une "machine mondiale à fabriquer de la dette" et une vision "de court-terme" qui détruit les valeurs humaines comme l'environnement.

18H42 - "Peur" - "La peur est revenue, cette peur qui détruit la confiance (..) Cette peur porte un nom, c'est la peur pour la France de perdre la maîtrise de son destin". Pour conjurer cette peur il faut "dire la vérité". "La crise n'est pas finie", met-il en garde. Il se lance dans une longue explication des racines de la crise actuelle.

18H41 - Révolution - "Je vous demande de regarder d'où nous venons et ce que nous avons accompli depuis trois ans. C'est une véritable révolution qui a commencé", dit-il, citant la régulation des rémunérations des traders, la perspective d'un mondialisme régulé et d'une nouvelle gouvernance européenne et mondiale.

18H39 - Souffrances - "Je sais bien que la vie est plus difficile après trois années de crise" pour les Français. Beaucoup de Français "ont souffert et continuent de souffrir". Le chef de l'Etat demande de comparer la situation de la France avec celle des autres pays européens dans la tourmente, "L'Espagne, l'Italie, le Portugal, la Grèce et l'Irlande". Ces pays "ont été obligés de baisser les salaires".

18H38 - "Dire la vérité aux Français" - Evoquant à plusieurs reprises un devoir de "vérité aux Français", Nicolas Sarkozy affirme que depuis le début de la crise en 2008 et grâce aux mesures prises en France, "ce ne sont pas les banquiers qui ont été secoués, ce ne sont pas actionnaires de banques qui ont été protégés, ce sont les économies des Français qui ont été sauvées".

"Dire la vérité"

18H35 - Top départ - Le chef de l'Etat, costume sombre et chemise blanche, commence son discours sous les applaudissements par un rappel du discours qu'il avait tenu ici même, il y a trois ans, "au pire moment de la tourmente financière".

18H30 - Salle comble et drapeau français géant - Le zénith de Toulon est rempli d'une foule dense de militants UMP venus dans des bus affrétés par le parti. Aucun logo visible de l'UMP dans la salle. Au-dessus de la tribune à laquelle doit s'exprimer Nicolas Sarkozy, un écran géant diffuse, sobrement, une image des drapeaux français et européen. Le drapeau national apparaît démesurément grand, flanqué de chaque côté d'un petit drapeau européen.

18H27 - Bayrou devant son écran - Le candidat centriste à la présidentielle François Bayrou "fait une pause entre sa tournée de Bergerac et sa réunion publique... pour aller regarder la télé", tweete Aurélie Herbemont, journaliste politique d'Europe 1.

18H26 - De Toulon à Berlin - Ce discours intervient alors que Paris et Berlin négocient d'arrache-pied pour accoucher d'une "initiative" conjointe pour améliorer la gouvernance économique européenne. Objectif: calmer les marchés. Les tractations sont âpres. L'Allemagne veut imposer une discipline budgétaire de fer à toute l'Europe. Berlin refuse catégoriquement que la Banque centrale européenne (BCE) joue un rôle accru pour venir en aide aux Etats en difficulté, comme l'en pressent la France et l'Italie. En France, des voix s'élèvent pour dénoncer un "deal" qui se traduirait par un "diktat" allemand.

18H23 - La "patte" Guaino - "Toulon 1", c'était déjà du Henri Guaino. Le discours de ce soir a lui aussi été préparé par le conseiller spécial du président, un souverainiste, amateur des grandes envolées et prompt à invoquer les grandes figures de la France. C'est "l'arme patriotique" de Sarkozy, comme le présente cette semaine l'hebdo Le Point.

18H21 - Feu sur Hollande? - Le chef de l'Etat s'attaquera-t-il de son côté à la gauche et au candidat socialiste?. Il a multiplié les critiques lors de ses derniers déplacements, notamment sur l'accord sur le nucléaire entre le PS et EELV. Pour son entourage, Sarkozy montre qu'il est un capitaine à la barre face aux menaces actuelles.

18H17 - "Super spin doctor" - Depuis ce matin, la gauche multiplie les attaques contre le rendez-vous de Toulon. Delphine Batho, porte-parole d'Hollande, accuse Sarkozy d'être "non pas un président de la République mais une sorte de super spin doctor, spécialiste de la manipulation des mots et des concepts". Sur Twitter, Pierre Moscovici, coordinateur de campagne d'Hollande a renchéri: "Toulon 1 a été une imposture,Toulon 2 risque d'être un nouveau boniment de campagne"

18H15 - De "Toulon 1" à "Toulon 2" - Le 25 septembre 2008, Sarkozy avait déjà choisi Toulon pour dénoncer les "dérives" du capitalisme financier après le naufrage de la banque américaine Lehmann Brothers. A l'époque, ce discours avait boosté sa popularité. Trois ans après, les dérives n'ont pas été jugulées, et c'est la France qui est menacée de perdre sa note AAA au sein d'une zone euro divisée et pour le moment largement impuissante à enrayer une crise des dettes qui s'étend.

EN DIRECT - En pleine tempête économique, Nicolas Sarkozy prononce un "grand discours" pour tenter de proposer une sortie de crise pour la France et la zone euro. Il doit s'exprimer à partir de 18H30, à Toulon, devant quelque 5.000 militants UMP. La gauche dénonce un président "candidat en permanence", dont les nombreux déplacements en province sont des "meetings payés par les contribuables".

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