Investing.com - L’indice-phare de la Bourse de Paris s’inscrivait dans le vert mardi, affichant une progression de 0,55% à mi-séance, suivant la publication d’indicateurs économiques mitigés en provenance dans la zone euro, alors que la France a, elle, échappé à la récession au deuxième trimestre.
Selon les chiffres de l’INSEE, la croissance a été nulle en France au deuxième trimestre – comme au premier trimestre 2012 et sur les trois derniers mois de 2011 –, rassurant ainsi ceux qui craignaient que l’économie ne sombre dans la récession, comme l’avait récemment pronostiqué la Banque de France.
En Allemagne, l’indice ZEW du sentiment des investisseurs a reculé à -25,5 points en août, contre -19,6 en juillet. La première estimation de l'Office fédéral de la statistique révélait, par ailleurs, que la croissance outre-Rhin a ralenti. Le PIB s'est accru de 0,3 % au deuxième trimestre, ce qui est meilleur que prévu (consensus: + 0,2 %), mais traduit toutefois un ralentissement par rapport aux trois premiers mois de l'année (+ 0,5 %).
Dans l'ensemble de la zone euro, l'activité s'est effritée au deuxième trimestre de 0,4 % mesurée en glissement annuel (- 0,2 % par rapport au premier trimestre), selon l'estimation flash d'Eurostat. Ces données sont en ligne avec les prévisions des économistes sondés par Reuters et moins mauvaises que celles établies par Markit, qui anticipait un repli de 0,6 %.
Du côté des valeurs, les cycliques étaient bien orientées, mardi. A mi-séance, STMicroelectronics engrangeait 1,05%, tandis que le spécialiste des installations électriques, Legrand, s’octroyait 1,75%.
Michelin s’appréciait également de 1,35% en milieu de séance, suivi des constructeurs automobiles Renault et Peugeot, en hausse de 0,35% et de 0,88% respectivement.
Quant aux banques, elles évoluaient en ordre dispersé mardi. BNP Paribas s’appréciait de 0,44% à la mi-séance, alors que Crédit Agricole et Société Générale cédaient 0,57% et 0,15% respectivement.
Dans le rouge, EADS a reculé de 0,86%, après la publication d’un article du Financial Times, dans lequel il est dit que plusieurs responsables du groupe avaient été prévenus, il y a cinq ans, de dessous de table présumés versés à des Saoudiens afin de décrocher un contrat de communications.
Alcatel-Lucent restait également en terrain négatif pour la deuxième séance consécutive mardi, en baisse de 0,31% en milieu de journée, suivant le communiqué de Standard and Poor's annonçant l’abaissement de ses perspectives sur le titre de ‘stable’ à ‘négatif’.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 grimpait de 0,62%, le DAX s’octroyait 0,78% et le Footsie 100 avançait de 0,59%.
Trois indicateurs américains étaient attendus plus tard dans la journée: les prix à la production et les ventes au détail du mois de juillet, puis les stocks des entreprises pour le mois de juin.
Autre actualité importante de la journée, le ministre de l'économie, Pierre Moscovici, a affirmé mardi matin, sur l’antenne d’Europe 1, que le gouvernement prendrait dès le 28 août des mesures afin de limiter la hausse du prix des carburants.
Selon les chiffres de l’INSEE, la croissance a été nulle en France au deuxième trimestre – comme au premier trimestre 2012 et sur les trois derniers mois de 2011 –, rassurant ainsi ceux qui craignaient que l’économie ne sombre dans la récession, comme l’avait récemment pronostiqué la Banque de France.
En Allemagne, l’indice ZEW du sentiment des investisseurs a reculé à -25,5 points en août, contre -19,6 en juillet. La première estimation de l'Office fédéral de la statistique révélait, par ailleurs, que la croissance outre-Rhin a ralenti. Le PIB s'est accru de 0,3 % au deuxième trimestre, ce qui est meilleur que prévu (consensus: + 0,2 %), mais traduit toutefois un ralentissement par rapport aux trois premiers mois de l'année (+ 0,5 %).
Dans l'ensemble de la zone euro, l'activité s'est effritée au deuxième trimestre de 0,4 % mesurée en glissement annuel (- 0,2 % par rapport au premier trimestre), selon l'estimation flash d'Eurostat. Ces données sont en ligne avec les prévisions des économistes sondés par Reuters et moins mauvaises que celles établies par Markit, qui anticipait un repli de 0,6 %.
Du côté des valeurs, les cycliques étaient bien orientées, mardi. A mi-séance, STMicroelectronics engrangeait 1,05%, tandis que le spécialiste des installations électriques, Legrand, s’octroyait 1,75%.
Michelin s’appréciait également de 1,35% en milieu de séance, suivi des constructeurs automobiles Renault et Peugeot, en hausse de 0,35% et de 0,88% respectivement.
Quant aux banques, elles évoluaient en ordre dispersé mardi. BNP Paribas s’appréciait de 0,44% à la mi-séance, alors que Crédit Agricole et Société Générale cédaient 0,57% et 0,15% respectivement.
Dans le rouge, EADS a reculé de 0,86%, après la publication d’un article du Financial Times, dans lequel il est dit que plusieurs responsables du groupe avaient été prévenus, il y a cinq ans, de dessous de table présumés versés à des Saoudiens afin de décrocher un contrat de communications.
Alcatel-Lucent restait également en terrain négatif pour la deuxième séance consécutive mardi, en baisse de 0,31% en milieu de journée, suivant le communiqué de Standard and Poor's annonçant l’abaissement de ses perspectives sur le titre de ‘stable’ à ‘négatif’.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 grimpait de 0,62%, le DAX s’octroyait 0,78% et le Footsie 100 avançait de 0,59%.
Trois indicateurs américains étaient attendus plus tard dans la journée: les prix à la production et les ventes au détail du mois de juillet, puis les stocks des entreprises pour le mois de juin.
Autre actualité importante de la journée, le ministre de l'économie, Pierre Moscovici, a affirmé mardi matin, sur l’antenne d’Europe 1, que le gouvernement prendrait dès le 28 août des mesures afin de limiter la hausse du prix des carburants.